Masaki Araragi

Nom : Masaki
Prénom : Araragi
Age : 17 ans.
Occupation : Lycéen emmerdeur.
Parcours : Originaire de Iwatodai.
Eveil : Combatant

Description Physique :

Une jeune lycéenne aux lèvres fraiches peut trouver un caractère fade à celles de Araragi. Une autre, habituée à manger des pommes de terre fraichement épluchées et fris, peut voir en Araragi un garçon trop mince et fragile. Enfin, l'assemblée de mauvaises langues penchées aux critiques derrière un rocher avec leurs airs languissants et leurs petites sonnettes ne peuvent que sa jalouser de ses yeux pierre précieuses. Des filles aux cheveux crépus aiment passer leurs mains avec effervescence dans la coupe de Araragi, tentant de perturber la coiffure mal-rangé de ce garçon châtain à la coupe plutôt courte. D'autres filles, celles qui aiment l'embêter ou se venger de ses pitreries, l'attrape par son petit nez fin et aquilin, tordant les articulations d'une manière guilleret. Ensuite, il y a les filles qui ressemblent un peu à des hommes, elles l'attrapent par le col lorsqu'il les embrasse fortement et baveusement sur la joue, comme elles sont gênées, elle tente de l'étrangler gentiment. Araragi lui se débat car il n'est pas spécialement musclé. Il n'est pas faible ou maigre, c'est un garçon à la musculature et au développement corporel habituel. Ses premiers poils ont poussés depuis quelques temps déjà, il n'est pas aussi musclé que Benjamin du magazine rose bonbon, il se rase le matin pour garder une peau douce car certaine filles aiment les peaux douces malgré que d'autre aiment les peaux plus viriles. En fait il se rase car il est le premier à apprécier cette douceur. Oui, car d'autres filles plus coquettes aiment l'embrasser ( encore sur la joue ) sans toucher des petits points noir piquants. Il y a aussi les hommes qui aiment tapoter ses larges épaules en guise d'amitié. Puis les filles qui critiquent ses vêtements Araragi, c''est un garçon qui ne s'est jamais préoccupé de l'apparence. Il porte la plupart du temps les vêtements que sa famille a portés. Les vêtements de proche parfois trop petit, trop grand. Les vêtements de ses ainés, les moufles de ses cadettes, la châle de sa mère. Elles sont désabusées de cet assemblage de vêtement hétéroclite. C'est vrai, ça ne ressemble à rien, c'est vieux et c'est souvent très moche. Maid d'autres sont touchées par sa simplicité. Enfin il y a l'homme qui lui a touché les fesses lorsqu'il se faisait un tatouage près des reins, c'était un crabe aux airs astrologiques, comme les déssins qui égayent la grande ours.


Description Mentale :

Araragi est un jeune lycéen au tempérament débordant de vitalité. Sa présence est égayante. Car il est perpétuellement joyeux et e en toute circonstance. Rayonnant de sourire. Continuellement il sourit, les yeux fermées, la bouche grande ouverte avec des dents bien blanche. Il peut paraitre envahissant avec son harcèlement de sourire. Et il l'est bien. C'est également un garçon espiègle qui déborde d'énergie et de positivité. Il tente de ravir le monde qui l'entoure en gardant un air enjoué.
Araragi est un garçon adorable, c'est un enfant bien élevé qui sait dire merci en souriant. Il prend la maligne habitude d'aider les personnes âgées et faire monter sa cote à coup de chariots revenant du marché. Il en est devenu populaire et n'en est pas mécontent. Malgré tout cette popularité n'a jamais eu autre effet de le faire encore plus sourire. Il n'en est pas plus heureux, il en est indifférent.
Certaine personne trouve Araragi désagréable. Son enthousiasme sent mauvais la cannelle. Et les gens prennent un malin plaisir à se jouer de sa naïveté. Araragi est entreprenant, il se rapproche des personnes mal à l'aise, les mets à l'aise. Mais il s'approche des personnes les plus hautaines, se fait envoyer à plus lointain... Il n'a pas d'apriori sur les gens, sont cœur ressemble à la pureté même. Mais c'est une position qui n'est pas réciproque avec son environnement. Malgré tout il n'en a jamais souffert.
Cependant; Araragi n'est pas pour autant une personne idiote ou impulsive. Il sait être sérieux dans les bonnes circonstance et il pourrai l'être éternellement, sérieux. Mais la maturité ce n'est pas drôle d'après lui. Pour autant, il possède d'excellent résultat, c'est un brillant élève qui possède d'énorme capacités de réflexion et d'analyse.

Mais, il y a de cela bien longtemps... Araragi était différent. C'était un garçon clos, renfermé, complexé, instable et même violent. Mais avant d'être bon il faut être mauvais. Avant d'être intelligent il faut être salaud. Avant de penser il faut ne pas penser. Araragi vécu dans le socle de la douleur, entouré du questionnement. Puis délaissé et seul, il s'intéressait aux choses dîtes futiles. Qui s'intéresse de savoir si les nuages cherchent à se rapprocher les uns des autres ? Qui s'intéresse à trouver un sentiment à une couleur ? Qui s'intéresse de savoir si les escargot peuvent complexer de leurs sexualité ?
Progressivement il a muri et ses couleurs se sont répandus sur les autres. Car il savait qu'il était singulier, car il savait qu'il était heureux. Car il s'était demandé le sens de la vie bien tôt et s'est ainsi qu'il l'avait comprit.

Test RP :

Araragi s'était levé de bonne heure, de bonne humeur. Il descendait rapidement les escaliers en s'habillant. De bonne heure, mais en retard... Sa mère avait pris la simple décision de lui parler en espagnol aujourd'hui. Son père enroulait deux nœuds touffues de cravate mal propre tout en manquant de s'étrangler.

Mi Dio criait sa mère.

Haw Cheat ! s'énervait son père.

Les parents de Araragi tenaient à ce que leurs fils puissent jouir d'une richesse culturelle hors pair. Tout jeune ils lui apprenaient déjà plusieurs langues, l'emmenait dans leurs voyages, partaient en vacance avec lui. Aujourd'hui, Araragi ne sait plus quel langue parler et jure en français, présente ses excuses en italien, murmure en ventriloque. Et dans ce joyeux bordel, Araragi prenait une lenteur toute particulière à se dépêcher. Il remplissait ses joues de bonnes cuillères généreusement yaourté et s'en allait rapidement les pieds trainant.

Une petite tache blanche douce lui chatouillait le coin de la lèvre et faisait dessiner quelques sourires aux spectateurs. Araragi attendait avec impatience un défilement de couleurs. Précisément : rouge, orange et verte ! Une fois le vert obtenu il pourrai traverser afin de rejoindre son école. En attendant les automobiles brillaient rapidement devant lui, s'effilant à une route effrénée. Et les gens de l'autre coté, ceux qui attendaient également la luciole verte, rigolait pleinement du spectacle que Araragi leur offrait. Un petit reste du déjeuner mal dégluti pouvait réussir à rendre le sourire à un troupeau nerveux. Les cornes au travail, les sabots aux heures perdus, la vitesse et la fumée au temps, à l'argent. Araragi observait dans cette même direction. Il renvoya une même joie de son sourire guilleret, sans comprendre qu'il était la personne dont on se moquait.

Une voiture des plus admirables s'arrêtaient, la peinture, l'encre de richesse sortait en fumée et Araragi manqua de se faire renverser car il avait voulu traverser. C'était la voiture de la famille Kengen, enfin il lui semblait. Elle se dirigeait vers Gekkoukan et Araragi lança une enjouée expression avec deux mains virevoltantes, plus que agitées à la voiture. En langage des signes, ça voulait dire, on se retrouve au lycée... Mais le conducteur qui était à l'intérieur et la jeune passagère qu'il transportait ne pouvait être joyeux devant ce garçon, en tout cas, pas tant qu'il bloquait la circulation. Oui, la luciole verte était vite reparti, Araragi ne s'en était pas rendu compte tellement il avait été occupé à saluer la riche voiture et des passagers. Finalement un nuage de poussière le recouvra, l'absence des avertisseurs sonores le ramenant à la raison.

Finalement, il s'était empressé de prendre le métro. Les lumières constructivistes effaçait son esprit tandis que la rame se remplissait, il s'était assis pour laisser sa place au premier passager qu'il avait vu debout. Instinctivement alors qu'il regardait son portable. C'était une habitude chez lui et l'avait presque fait sans s'en rendre compte. Il envoyait des mails à plusieurs de ses amis virtuels dont à un certain Izaya qui avait déménagé de Ikebukuro cette année. D'ailleurs, il ne lui avait pas demandé comment se nommait sa nouvelle ville... Mai, une bousculade souterraine qui l'élança sur le sol, brisant son portable interrompit sa discussion. Il commençait à ramasser les morceaux, les boutons, l'écran, la batterie et toutes les bizarreries qui composaient un portable avant de comprendre qu'il avait manqué sa station. il sortit en courant

Malheureusement il ne pouvait plus rattraper l'école. Et il ne pouvait pas non plus appeler sa mère pour qu'elle lui vienne en aide. Il s'approcha du premier bâtiment qu'il trouva. C'était une boutique qui siégeait au rez de chaussé.


Puedo utilizar vuestro telephono ? demanda Araragi inconsciement.

Le vendeur aux allures androgyne le regarda avec une drôle de mine. Ses cheveux blonds et son allure efféminé n'avaient aidés en rien.
Finalement il sortit et décida de rejoindre son lycée en courant. Bon il n'était pas encore en retard. Il n'hésitait pas à rayer de son ombre, la parfaite comédie des alignements entre les traitements blancs des passages piétons. Refouler le complexe des lucioles et de leurs couleurs, rouge et orange, il traversait aussi. Il bouscula un homme au grand manteau tombant jusqu'aux chaussures, la choc propulsa son sac sur le dallage gothique noir et blanc. Araragi se reprenait vivement de cette douce confusion. Il s'excusa à l'homme d'affaire dont l'air sérieux disparu à la vue de son pantalon bleu troué. Ce n'était pas un homme d'affaire ou un homme sérieux.

Enfin il arriva à l'entrée de son lycée, la cloche sonnait l'heure de reprendre. Il n'était pas en retard. Finalement la voiture Kengen s'arrêtait derrière lui. Il sourie à la passagère avant de courir vers sa salle de classe, il arrivera en premier ! Il avait son gros sourire ignare et ne pouvait s'empêcher d'égayer la classe. Par exemple en lisant le sms très personnel d'une jolie fille à haute fois. Ou en plaçant la brosse du tableau entre la porte et son bord, en faisant coulisser la porte pour rentrer, il la ferait tomber... Soudain un policier entre et avale le nuage-craie-poussière. Le silence plane aussitôt sur la classe. Araragi est seul debout, position théâtrale. Le policier lui jette un regard et commence à s'approcher de lui. La distance qui les sépare s'amoindrit. La main de l'homme se fait grosse, ses yeux se noircissent, Araragi reste impassible. Et le policier lui essuie les lèvres du garçon ébahi, c'est du yaourt. Le professeur fait alors signe à Araragi de s'asseoir.

Une fille de la classe a disparu depuis quelque temps. Elle ne vit plus avec ses parents, qui dit ignorer ou elle se trouve. Elle ne vient plus à l'école. Peu importe, c'est comme une disparition. Mais étrangement ses parents ne la cherche pas, ils n'ont prévenus personne. Et c'est la police seule, qui se penche sur cette louche histoire, et interroge la classe de Araragi. Personne n'a ne serait la moindre information pour faire avancer l'enquête ? Finalement le policier repart, bredouille. Le professeur demande alors aux élèves de sortir leurs affaires... Araragi tente de le prendre; rien. Il se souvient maintenant qu'il a oublié de le ramasser après la bousculade. Une fille, sa voisine de classe lui fait un clin d'œil et chuchote

pas grave, c'est la fin de l'année...

Et la fin de la journée. Araragi traversait les couloirs d'une vive énergie. Le soleil opaque et cramoisie faisait fleurir une étendue de couleur orange et jaune à travers les vitres des fenêtres. Transformant le couloir en véritable machine des rêves. Araragi observait l'extérieur, les élèves commençait à quitter l'établissement, c'était les vacances, la fin d'année. Comme il se sentait bien. Il allait pouvoir s'amuser sans penser au lendemain, acheter un nouveau sac, lire paisiblement jusqu'à ce que le jour se lève. Mais il n'avait rien à faire en particulier, car il faisait toujours ce qu'il voulait faire. Une surveillante l'interpela, elle avait son sac. Apparemment quelqu'un l'avait déposé au bureau pour lui. Araragi repensa à cette homme. Il s'élança gai vers le plus long chemin de retour, celui qu'il avait emprunté en venant.

Mais l'homme était introuvable étrangement. S'il allait au travail par cette route, il devait rentrer chez lui par la même. Finalement Araragi laissa un petit message en papier sur le réverbère " Merci pour le sac " Le garçon en profita pour s'excuser auprès de l'otomen qu'il avait rencontré ce matin. Mais maintenant qu'il était en vacance, il peinait à rentrer chez lui. L'idée de retrouver l'ennui, l'habitude de chercher à sourire... Finalement il trouvait un miroir et s'en suivit une longue contemplation dans ce dernier. Longue. Longue. Longue... Il perd la notion du temps, comme lorsqu'il joue au piano et que les mélodies le kidnappent. Difficilement ses jambes s'orientaient vers la bonne direction et regagnaient l'ombre et le métro. Il s'assied sur un banc châtain en attendant le métro. Il était à coté d'un homme aux cheveux et aux yeux noirs, penchés sur un fanzine faîtes de presse à scandale. Rien de bien intéressant, Araragi se tourna dans sa direction et lui sourit. La tête orientée vers la gauche, il découvrit maintenant qu'il s'était trompé de station. Il se leva sur le champs et fit un dernier sourire mais demeura ignoré par l'inconnu.

La mélodie de ses pas rappelaient en lui un orchestre harmonique. Le cris des fées quand il était petit. Et d'une manière maladroite un applaudissement s'était rejoint à ses pas. C'était un homme de blanc vêtu. Il s'approchait du banc, Araragi s'en éloignait. Les deux mélodies se croisèrent et Araragi laisse cette symphonie au passé, entendant un bribe de la dernière question...


Yoshida Naoya, c’est bien ça ? Ou Iz... demandait l'homme en blanc.

Maintenant Araragi était bien trop loin pour entendre la suite, continuer à écouter cette conversation, Et puis c'était impoli.

Mais minuit approchait et il n'était pas rentré. Minuit approchait et il n'était pas rassuré. Maman devait s'inquiéter, il n'était encore que sur la grande place avec toutes ses routes, ses réverbères, ses passages pour piétons. Presque minuit, presque trop en retard... Rome se déployait verte illuminée avant que le ville ne meure. Les cercueils se dressaient vers le ciel, le portable détruit laissait échapper une lueur. Messages de Maman ? Des ombres mugissaient. La lune tremblait, Araragi souriait comme il n'avait jamais souri. Il était minuit passé, l'extase. Des mains, des cœurs jaunes, des yeux glauques, des masques bleus, des idées, des vagabonds, tout et rien. Extraordinaire, cette chose, ce magnifique temps qui avait tout modifié durant une heure de sa vie. Alors qu'il ne l'avait jamais vécue pendant dix sept ans, depuis ce jour il le vivait chaque nuit. Araragi recula et cogna un cercueil qui restait stoïque. Il chuchotait :

pas grave, c'est la fin de ta vie...

Cette chose stoïque, rectangulaire et noire ; Elle était effrayante. Mais tellement attirante pour Araragi qui se mordit la lèvre gauche. Il ne rêvait pas, se confirmait-il. Il regarda tout autour de lui. La même constatation, le monde s'était changé en un immense champs vert et noir. Les appareils électriques ne fonctionnaient plus. La ville semblait privée de sa vie, sans lumière, sans bruit, sans victime. Il ne lui restait plus que la lueur de la lune resplendissante pour l'éclairer. Araragi n'y croyait pas vraiment, ses yeux comme écartelés de torture véritables étaient aussi rond que la bulle de crachat au bout de ses lèvres que le garçon faisait habituellement pour tuer l'ennui. Elle avait explosé dans un mouvement sourd lorsque Araragi s'était mordu. D'ailleurs, c'était une faible douleur. Il n'avait pas confiance en elle. Le doute qu'il rêvait planait encore en lui. Qu'est ce que c'était ? là ? Maintenant ? s'interrogeait il. Araragi était en même temps attiré par cette chose mais également effrayé. La lune glauque se reflétait dans ses yeux. Sa respiration se faisant plus haletante à cause du stress et de la panique.

Il s'était mit à courir pour explorer la ville. Une nouvelle île au trésor. Une nouvelle pyramide. Ou encore comme ses chemins magiques qu'il aurait toujours voulu découvrir étant plus jeune et de vivre des aventures de conte. Mais ses parents lui avait répétés plusieurs fois tout en serrant sa main que c'était impossible. Que les aventures n'étaient bonnes que dans les livres, les magiciens que dans l'illusion. Araragi courait. Il montait par dessus plusieurs cercueils, sans qu'ils ne tombent, car ils ne pouvaient pas tomber. Il les comptait, sautait à pieds joints, l'un par dessus l'autre malgré la hauteur. Il dessinait sur plusieurs d'entre eux. Parcourait la ville à grand coup de sprint. S'en se poser la moindre question. Sa tête à l'apparence frimousse ne protégeait qu'une seule chose, la pensée de profiter de ce temps perdu. De jouer comme il aurait toujours voulu le faire et de vivre ces tendres aventures d'enfants. De se laisser emporter avec les fées.

Soudain il aperçut un groupe de personne. Ils avaient chacun un brassards rouges, Araragi en avait été marqué et il descendit du haut du cercueil sur lequel il était perché. D'ailleurs, il eu un peu mal en se laissant tomber. Il se mit en tête de les suivre, de les rattraper afin de leur parler et de comprendre. Mais il fut interrompu. Se laissant regarder le ciel il admira le magnifique spectacle. Fabuleusement vivant. Ce corps mort qui germait vers la lune, comme un ange qui tente d'approcher le soleil. Une chose. Une infrastructure en ébullition corporelle. Une danseuse. Une peinture volumineuse et une sculpture plate. Ses formes diverses s'arrangeaient doucement. Les colonnes se pliaient en forme tortueuse. Ses étages et bâtiments se ravaudaient d'un teint glauque.
Araragi la voyait de très loin, elle devait être immense. Il décida de suivre le groupe de personnes aux brassards rouges. Mais ils étaient introuvables dans la ville. Il commença à s'approcher de la haute tour avant de s'évanouir, curieux et épuisé. L'heure de sa vie qui mentalement ne l'avait pas laissé insensible. Psychologiquement affecté, il s'était écroulé, regardant de sa vue latéale, la tour monumentale.

A son réveil. Il suffoquait douloureusement. Sa mère lui tenait la main. Il regardait le ciel et il n'y avait rien. La tour tortueuse avait disparut. Puis il regarda autour de lui... Il était à l'hôpital. On l'avait retrouvé inconscient. La conscience folle de Araragi ne fit alors qu'un tour. Un rêve ? Il se toucha l'épaule et sentit le creux de chair. Non, il n'avait pas rêvé.

Bonjour !

Alors pour commencer, avant toute chose, je ne peux que te conseiller de relire ta fiche. En effet, il y a des fautes relativement nombreuses, de frappes ou inattention pour la plupart je pense. De plus, certaines de tes tournures de phrases sont étranges, et entravent parfois la lecture de ta fiche.

Après cela, la partie la plus "grosse" de ce qu'il te faudra modifier : en effet, ton test RP ne convient pas. Tu as en effet fait le test RP correspondant aux personnages non-éveillés :

Citation :

Test RP : (Pour les éveillés) Décrivez la première fois que votre personnage a vécu la Dark Hour.
ou
Test RP : (Pour les non-éveillés) Décrivez une journée complète de votre quotidien.

Ainsi, ayant indiqué que tu étais un combattant, et donc un éveillé, il te faut raconter la première Dark Hour de ton personnage.

Pour finir, je souhaite cependant te dire que j'ai beaucoup apprécié le personnage, et que j'attends avec impatience ces premières modifications en espérant pouvoir te valider au plus vite =)

Mince...

Je trouvais ça bizarre aussi que toutes les autres fiches et test RP traitent de la dark hour...

Pour mes tournures de phrases, c'est vrai que j'ai un style très ampoulé, très gênant parfois. Mais j'avoue aussi de ne pas m'être appliqué, je déteste les présentations... Je vais repasser mes textes en vus.

Enfin comme tu as apprécié mon personnage, je dois te dire que j'aime beaucoup l'idée de nous attribuer des arcanes à la fin de la présentation. J'ai hâte de connaitre la mienne !

Présentation officiellement terminée !

Re-bonjour !

Alors pour commencer, les corrections apportées aux fautes sur la fiche me conviennent. Il en reste quelques unes assez flagrantes ("une jeune lycéen" par exemple, dès le début de la fiche) mais beaucoup moins qu'au début.

Concernant les tournures de phrases, il te serait bénéfique d'essayer d'être plus concis. Aller davantage à l'essentiel réduirait certes le nombre de lignes de tes descriptions, mais rendrait la lecture de celles-ci plus facile !

J'aimerais également te faire part d'un oubli de mon premier post, concernant tes dialogues. Aller à la ligne lorsqu'une personne parle serait préférable, plutot que de laisser les dialogues au milieu des blocs de texte.

Pour finir, concernant le test RP...
La première partie de ton test, correspondant à celui que tu avais écrit avant la modification, n'est plus nécessaire, puisque le test doit se concentrer sur la Dark Hour vécue par ton personnage.
De plus, celle-ci devrait davantage se concentrer sur les réactions de ton personnage durant celle-ci. Un seul paragraphe final n'est "pas suffisant", dira-t-on. Je tiens également à préciser qu'une attaque par de nombreux shadows sur un éveillé durant sa première dark hour est très improbable, et la probabilité que tu y survives est... très mince. Ainsi, il serait préférable que tu décrives dans ce test véritablement les réactions de ton personnage face à cette situation nouvelle, sans faire mention de shadows. Tu auras tout le loisir de les rencontrer en RP ^^
Aussi, je trouve intéressant ta manière de laisser une place aux autres personnages du forum. Cependant, fais bien attention aux incohérences, notamment au niveau de la temporalité ! Plus le nombre de références que tu veux insérer dans ton test augmente, plus les chances que celles-ci surviennent sont grandes ! =)

Voila, ce sera tout pour aujourd'hui.

Courage, c'est bientôt fini !

J'ai édité.
Mais je ne supprime pas la partie inutile de mon test RP, désolé j'y tiens.

Ouai je sais =)

Mais l'un n'empêche pas l'autre. J'pense qu'un jeux de rôle qui se résume aux échanges, rencontres basiques sans aucunes nouveautés devient vite lassant. Après je reconnais que ce que j'ai écris c'est mauvais. ça va dans tout les sens, y'a pas de structures ni rien... Mais le coté poétique j'y tiens et je trouve toujours intéressant de mélanger les choses, de faire des essais.

D'arrêter de se fixer aux pâle rencontres dans la rue qui manque d'originalité. D'écrire les choses d'une manière trop réaliste et banale. Ce qui est bien avec l'écriture c'est qu'on peut laisser toute une ambiguïté entre l'image et l'idée pourtant c'est la même chose à l'écrit... Et c'est vrai le RP n'est pas du tout adapté à cette forme. Mais je compte bien vous montrer le contraire.

Sinon, une vague idée de mon arcane... Ne regarde pas GM, tu verras une fois ma validation si je me suis trompé.

Spoiler:

Je n'ai pas dit que c'était mauvais, j'ai dit qu'il faudra dégraisser.

Bien !

Alors concernant les dialogues, c'est bien plus lisible, essaie juste de mettre des majuscules au début des paroles =)

Ensuite le test rp est correct, cependant, comme je te l'avais dit, une rencontre avec un shadow pour une personne ne possédant pas (ou pas encore) de persona finira inéluctablement en un cas de syndrome d'apathie. Ainsi, je souhaiterais juste que tu ne fasses pas du tout mention d'un shadow face à toi lors de cette dark hour, comme je te l'avais dit.

Désolé de continuer à insister là dessus, mais c'est le dernier point que je voudrais que tu modifies. Le reste du test (bien qu'effectivement long) répond à nos attentes.

Courage, tu es presque validé ! =)

*souffle bien fort*

C'est bon = )

Ton personnage appartient à l'arcane numéro 19l, l'arcane du Soleil.