Yamaguchi Minami

Bonsoir, bonsoir, désolée du retard, j'ai pas mal de truc à faire pour les cours ><
Mais bon, voilà ma fiche ^^

Nom : Yamaguchi
Prénom : Minami
Age : 26 ans
Occupation : Autrefois commerçante en tout genre, elle s'est spécifiée dans le livre. Elle tien une petite librairie vendant de tout, du Manga à la plus grande littérature.
Parcours : Cela fait quelques année qu’elle habite à Iwatodai. En fait, elle s’est installée là après en avoir marre de voyager à travers le Japon avec sa famille qui était commerçante.
Eveil : Non.

Description Physique :
Minami est une jeune femme qui fait plus jeune que son âge, en effet, que se soit dans ses traits, de sa taille ou de son poids, on ne dirait pas qu’elle a 26 ans. Elle ne fais que un mètre cinquante-neuf pour quarante huit kilogrammes, elle n’est pas lourde, mais pas très légère pour autant. Ses cheveux lui arrivant à peine au niveaux de ses épaules virevoltaient souvent à cause du vent, faisant apparaître plus significativement leurs couleurs châtain avec quelques reflets plus clairs. Ses yeux ne sont pas rouge, contrairement à ce que beaucoup pensent, c'est juste qu'elle a quelques problèmes avec ses pupilles, en fait, elles sont marrons, comme la plupart des Japonais ou Japonaises. C'est juste qu'il y a certain reflets rougeâtres dans ses yeux par moment, dont même les plus grands ophtalmologiste ne savent pourquoi. Elle n'a pas de problème de vue pour autant, et c'est bien pour cela qu'ils s'interrogent sur ces reflets étranges qui apparaissent parfois. Ses bras et ses jambes sont fins et pourtant, ils recèlent une force impressionnante au vus de la taille de ses membres. Bon, ce n'est pas comme si elle pouvait porter facilement dix kilogrammes sur une longue durée, mais elle a acquis une certaine endurance grâce à sa librairie qu'elle doit reclasser chaque semaines.

Description Mentale :
Petite et menue, Minami est pourtant le genre de femme qui affronte la vie avec courage et avec une certaine forme d'arrogance. Est-ce à cause de sa physionomie justement ? On ne sait pas trop à vrai dire. Elle sait que si elle ne se bat pas pour elle, personne ne le fera à sa place et elle pourrait très vite tombée dans les oubliettes injustes du Japon. Bien entendu, elle ne prétends, et ne prétendra jamais, étant plutôt modeste, d'être connue ou quoi que se soit de ce genre ! C'est juste que si elle a des problèmes, elle fera tout en sorte pour les surmonter toute seule, sauf si, cas de force majeur, elle ne puisse pas et dans ces moments là, elle sait demander de l'aide bien qu'elle déteste cela. La raison ? La plupart des personnes la regardent comme si il était évident qu'elle demande de l'aide, sans doute encore à cause de sa taille... Elle a eut un problème de croissance, que pouvait-elle y faire ? Rien, mais elle se devait de vivre avec. Cela ne l'enchantait pas mais il y a certains moment, sa petite taille l'aide bien, mais là n'est pas la question.

Déménageant souvent dans une autre ville, un autre pays, elle n'a pas pu faire de grandes études. Pas idiote cependant, elle a pas mal de culture général tout de même par rapport à toute les destinations qu'elle a fait. Déjà à la base, son chemin était tout tracé, chose qu'elle détestait au plus haut point mais il lui fallait faire avec jusqu'à ce qu'elle ai au moins la majorité. Franche et du coup cassante, Minami n'hésite pas à dire ce qu'il ne va pas sans oublier de le dire aussi lorsque tout va bien, bien que se soit un peu rare pour elle à cause du fait qu'elle soit difficile à comblée. Mais elle n'est pas froide pour autant, elle aime discuter, rire et embêter les autres, bien qu'elle aime rester seule aussi.

Tiens, parlons-en de sa solitude. Autrefois, ou plutôt pendant sa période scolaire, elle a souvent été très seule à cause de son physique, de la barrière de langue bien que très vite enlevée par sa capacité à apprendre rapidement une langue étrangère, et de ses déménagements en continus. Trop petite et avec des yeux étranges par moment, cela en faisait fuir plus d'un et faisaient germer des rumeur toutes plus glauques les unes que les autres. C'est peut-être à cause de cela que, aujourd'hui encore, elle a tendance à avoir l'air blasé, c'est à dire d'avoir l'habitude de quelque chose, à tel point que cela ne lui faisait plus grand-chose. Étant gentille, elle adorait plus que tout aider les personnes que se soit pour le choix des livres que pour porter des choses par exemples.

Observatrice, cela, Minami l'est et le fais très bien. Ayant un esprit plutôt critique, elle adore observer les gens choisir un livre dans sa boutique. C'est qu'il y en a des choses à apprendre sur les gens rien qu'en les observant. Attention, elle ne s'intéressait pas forcément au physique, bien qu'elle trouvait tout de même plus intéressant de regarder de belles personnes. Mais elle se délectait de savoir ou deviner le livre qu'ils allaient prendre. Bien entendu, à cause de cela, elle voyait aussi un peu le malheur des autres, ou leurs idées malsaines en quelque sorte rien qu'en voyant leurs façon de marcher, de prendre un livre, de payer, d'observer, bref, leurs mouvements en quelque sorte.

Famille :
Sa famille ne se compose que de ses parents, Monsieur et Madame Yamaguchi, donc vous pouvez facilement deviner qu'elle était un enfant unique comme on les appelait. Mais elle n'était pas gâtée pour autant, bien que son père lui donne toujours de l'argent pour s'acheter un petit souvenir, mais jamais plus, pour eux, l'argent c'était sacré. Ils l'emmenaient parce qu'ils ne pouvaient la laisser seule mais on voyait que cela ne les enchantaient pas. En vérité, Minami a perdu la mémoire vers 7 ans, alors elle n'est même pas sure que ses parents qu'elle a tenté de faire en sorte qu'ils soient fière d'elle soient ses vrais parents. Mais elle savait qu'elle n'était pas très aimée de sa famille.
Malgré tout, ils ont très vite accepter son envie de s'installer à Iwatodai, bien que pour elle, se ne soit que pour se débarrasser d'elle.

Test RP :

Elle ne savait plus où elle avait lu une certaine phrase ou qui lui avait dis ça mais toujours est-il que c'est cette phrase qui résonne toujours dans sa tête lorsqu'elle se réveillait en sursaut, prise en traître par son réveil, bien que se soit elle-même qui l'a régler pour sonner à cette heure là. Ne lui demandez surtout pas pourquoi cette phrase et pas une autre, surtout qu'elle n'a rien à voir avec le contexte, mais elle y pensait, chaque matin, comme un rituel, bien qu'elle l'oubliait très vite.. Elle se leva, mal coiffée et avec les yeux visiblement dans le brouillard le plus total bien que la chambre soit parfaitement bien éclairée et propre, et se dirigea vers la salle de bain sans manquer de tomber en se prenant les pieds dans sa serviette qui était lamentablement tombée pendant la nuit. Après s'être relever en lançant un juron sur sa pauvre serviette, elle commença comme tous les Japonais, du moins elle pense, à se laver pour ensuite s'habiller. Elle n'avait pas vraiment de style vestimentaire, mais elle mettait ce qui lui plaisait, pourvu que ça aille ensemble.

Une fois l'habitude du matin finis, elle descendis d'un étage et se retrouva dans une pièce noire. Elle tapota le mur à côté d'elle tout en baillant pour enfin tomber sur l'interrupteur dévoilant plus de 7 étagères l'une à la suite de l'autre. Elle avança doucement en esquivant les livres étrangement à terre et ouvrit les volets qui cachaient la lumière du jour. Elle se frotta les yeux quelques instant, un peu éblouis par ce soleil matinal puis sortis dehors respirer l'air encore un peu frisquet. Après s'être étirée elle entra dans l'appartement qui ne ressemblait en fait pas à une habitation. Sur le devant, on pouvait y voir une grande vitrine avec des livres, en fait, c'était sa librairie du nom de Collection. C'était un mot français, oui mais elle trouvait cette langue élégante et sachant ce que ce mot voulait dire, elle trouvait cela parfait. Elle classa les quelques livre par terre, comme chaque matin, s'installa devant sa caisse et attendis.

Ce n'est qu'une dizaine de minutes plus tard qu'elle réalisa qu'elle avait oublier de retourner la pancarte indiquant que c'était fermé pour mettre que c'est ouvert... Elle se leva donc de son siège, dépité d'elle-même pour mettre sa pancarte du bon sens puis se remit à sa place attendant les premiers client qui n'arriverons qu'une heure après. En attendant, elle se questionnait pour la énième fois sur la raison des livres à terre. Premier client, une personne âgée, la même personne à chaque fois. C'était une femme qui adorait lire et qui demandais souvent des conseils et comme la vieille femme lisait de tout, c'était d'autant plus simple. Elle se dirigea vers la caisse comme à son habitude et sortis Minami de sa rêverie quelque peu profonde.

- "Mademoiselle ! S'il-vous plait."
- "Hm ?" Lâcha-t-elle à moitié réveillée, "Ah ! C'est vous Madame Takashi, bienvenue, excusez ma somnolence."
- "Dites-moi, auriez-vous un policier à me conseiller pour mon mari... ?"

Minami souris, et se dirigea vers l'étagère où était entreposés tous le policiers de sa boutique. Elle proposa plusieurs titre à la vieille femme qui choisit finalement un livre sur la disparition étrange d'une enfant de 5 ans qui réapparait 10 ans plus tard sans aucune explication. Un livre émouvant, basé un peu sur la psychologie, apparemment c'est ce qu'aime le mari de la dame. Elle partis et s'installa un vide intense dans sa boutique. C'est surtout vers 16 heures que le monde arrive, si non, il n'y a pas grand monde, ou même personne. Elle en profita pour sortir un peu, manger, discuter avec le serveur – accessoirement son coup de cœur – pour ensuite faire les boutiques toujours seule essayant des habits sans les acheter.

15h40, il lui fallait rentrer dans sa librairie pour accueillir ses jeunes clients. Elle n'a pas beaucoup de clients mais assez pour faire fonctionner sa boutique. Au final, c'est toujours la même chose : Elle se lève, s'habille, la caisse, manger, discuter, essayer, la caisse, manger dormir. C'était comme avant, comme lorsqu'elle était au lycée, à la différence près qu'elle bougeait moins. Cette vie lui convenait, bien qu'elle soit moins excitante que son ancienne vie. Elle regrette un peu sa vie d'en temps.

"La première partie de la vie se passe à désirer la seconde ; la seconde à regretter la première."

Le souvenir d'une phrase qu'elle se dit le matin, comme chaque soir, elle s'en souvint, et comme chaque soirs elle pensa que c'était vrai, et comme chaque soir elle s'endormit sur cette conclusion, et comme chaque matin, elle oubliera cette dernière.